vendredi 20 décembre 2019

Alexandre Trillard : une grande première sur le blog

La Balade en Flandre d'avril 2019 a inspiré à Alexandre Trillard l'un de ces diaporamas dont il a le secret.

Alexandre a intitulé celui-ci : "Diaporama imaginaire".

Soyez sans crainte, l'imaginaire donne lieu à plein de pages bien réelles.
ET..., à une vidéo sonorisée très intéressante, intégrée dans le diaporama.
Grande première sur notre blog HEC 66 !

Pour imaginer le diaporama d'Alexandre, cliquez ici

Vous trouvez aussi ce lien dans l'onglet "2019 - Flandre" qui a été mis à jour.


Remarque : du fait de la vidéo, le diaporama est un gros fichier.
Sur OneDrive, sa lecture est parfois très hachée.
Dans ce cas, votre meilleure solution est de le télécharger sur votre PC.
 


mercredi 10 juillet 2019

A notre Major, Maurice Marchand-Tonel

Maurice Marchand-Tonel nous a quittés en ce mois de mai 2019.
Il était le major de notre promotion 1966, major d'entrée en bizuth, et major de sortie.
Nous le connaissions tous, il nous représentait tous.

 
A cette triste nouvelle, le sentiment étrange d'un vide soudain nous a étreints.
Robert Gravereaux dit : "nous sommes tous un peu orphelins".
Et Pierre Vanlerberghe ajoute : "avec Maurice, c'est une partie de l'histoire de la promo qui s'en va".

Nous avons été plus de quarante à exprimer notre souvenir de Maurice par un mail à notre délégué, Olivier Devergne.
 
Et notre souvenir est unanime : "notre major était un type bien", dit Alain-Pierre Schmid.
Et, comme Olivier Netter qui dit : "c'était un modeste et un grand travailleur", Daï Le Thuc précise : "pour un major, il était modeste et réservé".


Voilà bien la singularité de Maurice. Il aurait pu être le major arrogant et lointain ;  il était notre Major, chaleureux et proche.
Pierre Bouchet dit : "ses qualités intellectuelles ne gênaient pas ses qualités de cœur".
Et Théophile Komaclo : "Maurice était un bon ami, simple et serviable".
Et Michel Derbey et Gérard Lissorgues disent : "il était un exemple, proche de nous et bon camarade".

Maurice, c'était une intelligence brillante, une grande culture, une présence et une attention aux autres, un humour aimable, une grande force de travail.

Jacques Fouquet, évoquant son année de prépa à Lyon, dit :
"J’ai des souvenirs personnels avec ce remarquable major.
Très grand intellectuel.
 Maurice était un travailleur infatigable. Il écoutait constamment les radios anglaises pour parfaire ses compétences". Et, pour l'anecdote, il ajoute : "l’année de notre préparation, il habitait l’immeuble mythique où les canuts se sont battus au 19è siècle. Immeuble dit des 365 fenêtres, 7 étages, 12 allées, fruit d’un architecte fou. Lorsque j’allais le voir, il fallait grimper 6 étages avec des plafonds de 5m de haut pour les métiers Jacquard.
Ses parents étaient d’origine modeste et vendaient sur les marchés de Lyon".

Se remémorant ses années à l'École, Benoît Marcilhacy dit : "il était bon en tout alors que je peinais dans plusieurs matières... Même si cette situation me faisait râler, j'admirais sa grande intelligence et ses facilités".
Et Claude Sorel écrit : "nous nous retrouvâmes voisins de chambre à la Maison des Élèves de la rue de Tocqueville. Au long des années, nous cultivâmes une discrète mais solide amitié. J'admirais sa brillante intelligence, son esprit de synthèse et son talent pour les réparties qui faisaient mouche".
Louis Gallois dit : "Maurice, au-delà de son intelligence exceptionnelle, cultivait de vraies valeurs éthiques. J’avais toujours un grand plaisir à échanger avec lui".
Daniel Fleury dit : "Pendant plusieurs années, Maurice m'avait systématiquement mis en copie sur des notes de réflexion du Boston Consulting Group. Il était d'ailleurs l'auteur de plusieurs notes, écrites avec clarté, humour et ce regard oblique, "out of the box", qui est l'apanage de l'intelligence et de la curiosité intellectuelle".
Et Hervé Barbedienne : "J’ai travaillé avec Maurice de 1989 à 1995. …/…Je veux dire ici combien Maurice était attachant. C’était quelqu’un d’une grande sensibilité, toujours à l’écoute, très fidèle. …/… Je garde le souvenir d’une intelligence brillante, d’un homme de projets, très professionnel, et féru de poésie ; il me semble qu’il pratiquait le haïku".

Jean-François de Chorivit, délégué de la promo 1965, raconte : "Durant l'été 1969, Michel Chevalier, Maurice et moi-même avons travaillé ensemble au Boston Consulting Group, qui était alors une petite "boutique" de conseil créée quelques années auparavant par Bruce Henderson. …/… Maurice est venu s'installer dans l'appartement que Michel Chevalier et moi occupions depuis septembre 1968 à Harvard Square. …/… Tous les soirs, Maurice "travaillait" consciencieusement son anglais, reprenant les diverses expressions qu'il avait notées durant la journée sur un petit carnet. Le goût du travail bien fait..."

Maurice était aussi Master of Business Administration de Harvard Business School, et ses camarades nous écrivent ces quelques lignes, qui résonnent comme une synthèse de ce qui précède :
"Maurice will be remembered for his outstanding clarity of mind and ability to transform ideas into action, his integrity, as well as for his attention to others, whether close or remote, for his loyalty and humor. We lose an exceptional friend".

Sa vie professionnelle a été particulièrement prestigieuse, internationale, diverse, comme la décrivent ses pairs de Harvard :
"Maurice has been first and foremost a top flight strategy consultant to the owners and management of major companies in many parts of the world, initially with the Boston Consulting Group (1970-78) where he opened the Paris and Munich offices, later with Monitor (1997-2000), Arthur Andersen (2000-2012), and on his own, publishing a noted book on corporate strategy in 2002 in both the US and France. Believing in putting his vision and advice into practice, he was also to serve as CEO of such French companies as Sommer-Allibert, Transalliance, Ciments Français and Givenchy.
Still active, he was a director(1) of Essilor International and Faiveley as well as the long-time chairman of the European-American Chamber of Commerce.
He was at heart both French AND American, insisting on this double bond and accordingly spent his time between France and the US (Florida)".

Certains d'entre nous ont été proches de Maurice depuis toujours. Ils ont voulu partager avec nous leur amitié et leur peine.

C'est Jacques Rouayroux, qui s'adresse à Claude, l'épouse de Maurice : 

"Bonjour Madame,
Je crois que nous ne nous sommes jamais rencontrés, mais si je n’ai pas vraiment fréquenté Maurice au cours de nos années HEC, j’étais trop mal classé, c’est lui qui m’a recruté en 1981 pour que je vienne le rejoindre dans ses années SCOA. C’est encore lui qui m’a permis de rentrer à la Compagnie de Suez en 1984.  …/….
Depuis, nous n’avons cessé de nous voir et de déjeuner ensemble au moins une fois par an.
Je lui serai toujours reconnaissant de l’orientation qu’il a donnée à ma vie.
Au-delà de ces rapports professionnels, nous avions une complicité Champsaurine(2) car j’ai passé de nombreuses vacances de jeunesse à traîner dans la montagne d’Orcières(3), en particulier autour des Audiberts(4). A l’automne dernier je lui ai proposé un pèlerinage dans sa vallée et il m’a  répondu que, la neige une fois fondue et quand il serait de retour, nous pourrions envisager ce voyage…
Je pensais que le moment était venu de lui rappeler ce projet, mais c’est un bien autre voyage que l’on vient de m’annoncer ce matin…"

Et Michel Tardieu écrit à son ami :

"Cher Maurice, cher ami,
Le choc d'apprendre ta disparition si brutalement ce matin alors que nous avions partagé un de nos déjeuners réguliers il y a exactement un mois, le 2 Avril, m'a laissé effondré.
Tu avais eu des alertes, une santé fragilisée, mais tu vivais comme si de rien n'était, te déplaçant avec vigueur malgré tes soucis physiques.
Je te revois encore quittant un restaurant où nous avions comme d'habitude échangé sur tout ce qui nous passait par la tête, librement et franchement, courant après ton bus qui allait repartir, appuyé sur ta canne, comme si tu avais toujours 20 ans.
20 ans, l'âge où, au sein du comptoir que nous partagions, notre amitié s'est nouée, notamment au fil de quelques travaux communs pour Matthiex notre remarquable prof de "méthode". …/…
J'habitais près de Saint Augustin et tu revenais souvent déjeuner à la maison déguster avec régal les bons plats que ma mère nous préparait. Vous aviez une affection réciproque. … / …
Malgré Harvard, …/… et les hautes sphères que tu fréquentais, tu ne ratais jamais nos déjeuners parfois moins fréquents mais toujours aussi spontanés, parenthèse détendue et refuge de vérité profonde et de liberté dans un monde professionnel souvent plus rude et moins naturel.
Nous refaisions ce monde, nous échangions les nouvelles, tu me disais ton bonheur de partager ta vie avec Claude, évoquions nos familles, les souvenirs souvent lointains tant ta mémoire était vive et forte. Tu me parlais avec émotion des Hautes Alpes, une de tes racines familiales à laquelle tu tenais par-dessus tout.
J'ai vu aussi croître ton attirance pour les États Unis que tu rêvais de plus en plus de faire partager à Claude, ton épouse adorée, qui ne t'a suivi en Floride que plus tard quand elle a un peu levé le pied, il y a quelques années, de son activité débordante de médecin gynécologue.
C'est dans cette résidence que tu aimais tant, face à l'Atlantique, dans ce milieu marin où tu évoluais avec plaisir, que tu nous as quittés. …/…
Notre amitié a été tissée ainsi de ces mille fils éternels.
Ce temps qui passe bien vite et les décades qui tournent vont nous apporter de plus en plus d'absents et il ne sera plus utile de pointer pour eux comme nous le faisions parfois à la pointeuse de Malesherbes.
 Mais personne n'oubliera le brillant major qui courait après les professeurs que nos chahuts occasionnels avaient viré de l'amphi. Le professeur Vedel s'en souvient sûrement encore et il t'en parlera sans doute si vous vous retrouvez dans cet ailleurs que nous ne savons pas.
Au revoir, cher Maurice. La chaleur de notre promo 66, les moments amicaux que nous sommes nombreux à partager grâce à nos délégués si inventifs, permettront de poursuivre avec ton souvenir et ta mémoire les bouts de chemin que nous parcourions ensemble.
Mes pensées vont avec force vers Claude et tes trois enfants et ils savent que je suis de tout cœur avec eux."

La promotion HEC 1966
Mise en forme par Jean-Jacques Decléty et Jean-Pierre Richard
----------------------------
(1) Administrateur
(2) le Champsaur est la haute vallée du Drac, au Sud du massif des Ecrins
(3) Orcières est un village du Champsaur
(4) Les Audiberts est un hameau d’Orcières, à 1460 m d’altitude


mercredi 26 juin 2019

Souvenirs de Philippe Malignac

 Le 15 avril dernier, Olivier Devergne nous a fait part du décès de Philippe Malignac.

Jean-Pierre Richard, qui l'a rencontré à plusieurs occasions, nous raconte ses souvenirs :

Philippe Malignac nous a quittés le 11 avril 2019.
 

Il repose désormais dans le Limousin qu’il affectionnait.

Il était avec nous en septembre 2016 pour fêter notre cinquantième anniversaire chez Louis Omer-Decugis.
 

De l’avis de ceux qui l’ont rencontré, il était un homme toujours souriant et agréable, courtois, calme, élégant et charmeur, mais aussi discret. 

Basile Contselis était avec lui de la sixième au lycée Condorcet à la classe préparatoire à Carnot. Il se souvient de lui, toujours aimable, prêt à rendre service et bienveillant. Gérard Fulconis l’avait fréquenté un peu à l’école et l’a retrouvé à plusieurs occasions avec beaucoup de plaisir.
Je ne le connaissais que de vue à l'école et n’ai échangé avec lui que beaucoup plus tard, à l’occasion d’un achat de mobilier pour les chambres de mes enfants dans la belle affaire qu’il a su si bien développer, Espace Loggia. Nous avions déjeuné ensemble pour évoquer notamment la scolarité de nos fils !

Nous nous retrouvâmes un jour par hasard sur le boulevard Saint Germain devant une de ses boutiques. L’équipe des délégués avait décidé de déjeuner dans un restaurant voisin pour préparer un projet avec notre cher Nicolas Coulon. Il nous rejoignit au dessert et ce fut un moment très joyeux.
Au printemps 2016, il voulait concrétiser un projet personnel et humanitaire dans un pays défavorisé et recherchait des contacts à Madagascar. J’ai organisé pour lui deux déjeuners avec deux amis, Bernard Ramanantsoa, le charismatique Directeur Général du campus, et Michel Manceau (HEC 1964), très investi dans la vanille à Madagascar.

Je laisse Michel exprimer ses souvenirs d’un long séjour qu’ils y partagèrent :
"Philippe est arrivé un jour à Antalaha pour y trouver une crique bleu émeraude où séjourner. Mais il avait aussi en tête un projet humanitaire.
Alors, il s'est installé à la terrasse de son hôtel, et, au fur et à mesure de nos déplacements quotidiens en brousse (j'y achète de la vanille), il parlait poules, œufs, poulaillers, et petit à petit, tranquillement, il écrivait sur un grand cahier ses trouvailles.
Et puis, quelques semaines plus tard, il a sorti un projet finalisé, que la Coopération Allemande, également sur cette problématique, a validé : la mortalité des poules pondeuses était due à un manque d’hygiène dans les poulaillers, et des pratiques sanitaires adaptées permettraient d'éradiquer cette mortalité anormale.
Ses problèmes de santé l’empêchèrent de poursuivre ce projet."

Après son décès, j’ai revu son épouse Laurence et son fils Paul, qui dirige maintenant l’affaire familiale.
Ce fut l’occasion de revenir sur son parcours professionnel, riche, original et fertile.

Philippe commença sa carrière en France dans un grand groupe américain de home products.
A peine recruté, il partit à New York ainsi que d’autres « haut potentiel » comme lui, pour une année d’intégration et d’imprégnation de la culture et des méthodes internes du groupe, avant de revenir à Paris, pour y redéployer l’entreprise.
Il rejoignit ensuite Calor / SEB où il développa l’international, puis Moulinex comme Directeur International qu’il quitta lors d’une longue guerre de succession.
Une rencontre fortuite avec l'inventeur d’un appareil épilateur original « Silk Epil », fut l’occasion d’une association fructueuse pour un lancement mondial, où son talent et son expertise internationale dans la commercialisation d’appareils de petit électroménager domestique permirent un développement exceptionnel et la signature de plusieurs contrats de licence, avant que le marché ne se banalise.

Ayant cédé ses parts, Philippe pouvait alors songer sereinement à de nouvelles aventures.
Il prit différentes participations dans des entreprises. Parmi celles-ci, Espace Loggia, concepteur et producteur de meubles, qui avait été créée à la fin des années 70 par Mijanou Bardot.
Le concept malin, intelligent et novateur d’Espace Loggia, qui permettait d’optimiser l’ameublement de pièces aux volumes de plus en plus réduits et l’intérêt que présentait un mobilier modulable, le séduisaient.
Il suffisait d’y apporter une gestion efficace, sur les plans industriel, logistique et commercial, et de bâtir une communication percutante.
Philippe prit le contrôle de cette affaire à la fin des années 1990. Il dynamisa l'entreprise en misant sur l'innovation et en relocalisant la fabrication des meubles en France. En 2002, il acheta à Pinault Bois une usine de bois située aux Herbiers, en Vendée. L'usine produit depuis lors les meubles ingénieux de la marque. Paul innova à son tour en digitalisant l’entreprise, et en créant un système de maintenance préventive via les objets connectés particulièrement précieux pour les gestionnaires de résidences étudiantes, un des marchés porteurs d’Espace Loggia aujourd’hui.
Voici quelques propos de l’hommage du directeur de l’usine des Herbiers lors de ses obsèques  « un patron au grand cœur, qui a changé le cours de tant de vies » ; il évoque son profond charisme et son autorité naturelle, son talent pour exprimer des choses difficiles à entendre, avec toujours beaucoup de bienveillance, un homme juste, généreux, chaleureux, croquant la vie à pleines dents.

Relisez sa page de notre annuaire trombinoscope 2000.
Elle illustre bien sa personnalité lumineuse.
Philippe, homme discret, aura été une figure exemplaire de notre chère promotion.
 

Jean-Pierre Richard avec le concours de Jean-Jacques Decléty



dimanche 23 juin 2019

Un peu tard... Le voyage Flandre-Lille d'avril 2019

Camarades de la 66, pardonnez à votre Webmaster le retard avec lequel il vous informe du grand succès du voyage en Lille et Flandre de ce mois d'avril 2019 !
Comme on dit elliptiquement, il a été retenu par d'autres aventures...

Ce voyage de 3 jours, organisé de main de maître par Thomas Derville, a été une réussite complète.
Les guides de nos diverses visites, musées et villes, ont été remarquables de culture et de clarté, un jeune directeur de la Chambre de Commerce nous a montré combien cette région autrefois sinistrée était en pleine renaissance, et Fabien Derville, un neveu de Thomas, nous a passionné par un exposé brillantissime sur le capitalisme familial et ses caractéristiques spécifiques en Hauts de France.

Ces 3 journées d'arts et de culture nous ont tous enthousiasmés, bravo Thomas !

Annie Hennel en a fait un superbe diaporama.


Pour voir ou télécharger le diaporama, cliquez ici

 

jeudi 10 janvier 2019

Les inscriptions pour le voyage de septembre 2019 au Monténégro sont ouvertes !

Chers camarades

Joe Asfar vient de mettre la dernière main au programme de ce projet de voyage au Monténégro que vous trouverez en PJ

Tout d'abord notez les dates :
du mardi 17 septembre au mardi 24 septembre 2019.

Ensuite, les compagnies low cost ne desservant pas encore le Monténégro, nous incluons dans notre prestation le voyage en avion, via Austrian Airlines, au départ de Paris CDG.

La dernière journée pourra être au choix, une journée  de farniente, ou bien consacrée à une excursion jusqu’à Dubrovnik.
Merci d'indiquer votre choix dans le bulletin d'inscription joint.

Le nombre de places est limité à 48.

Les installations touristiques de qualité n'étant pas encore légion au Monténégro, nous sommes conduits à vous demander de vous décider sans délai et à m'adresser votre inscription et votre acompte.
Je dois verser un acompte significatif pour bloquer nos réservations.

Je profite de ce courriel pour rappeler, à ceux qui ne l'auraient pas noté, notre déjeuner du 29 janvier, auquel nous aurons le plaisir de revoir notre camarade Théophile Komaclo, de passage en France à cette période.

Portez-vous bien
Amicalement
Olivier DEVERGNE


Pour voir et télécharger le programme détaillé du voyage, cliquez ici
Pour voir et télécharger le bulletin d’inscription, cliquez ici

Les voeux 2019 - La famille Delbard toute en joie !

François Delbard nous envoie ses voeux pour 2019 avec cette charmante photo pleine de rires.


vendredi 4 janvier 2019

Les vœux 2019 - venus des antipodes !

Notre camarade Jean-Pierre Gaudfrin nous envoie cette belle carte du monde des vœux, dont Tahiti est le centre.


Rien de surprenant, il y réside !

Jean-Pierre ajoute ces quelques mots, et nous indique ses coordonnées.

" Tous mes vœux pour cette nouvelle année, et d’abord, bien sûr, à notre âge, une très bonne santé !

Jean-Pierre GAUDFRIN "
 

B.P.110293 – MAHINA
98709 – TAHITI
POLYNÉSIE FRANÇAISE

Email : jpg@mail.pf
Site Web : www.pacificindustrie.com



jeudi 3 janvier 2019

2019 - Les vœux d'Olivier Devergne

Chers camarades,

Pour débuter mon propos, je voudrai remercier tous ceux qui m'ont adressé leurs vœux, et à mon tour vous présenter les miens et ceux de vos délégués pour notre 53ème année de sortie de l'École.

Le temps passe, certains disparaissent prématurément, d'autres souffrent dans leur chair ou leur tête, la maladie, l'âge, provoquent des ravages et nous avons une pensée particulière pour ceux qui sont ainsi frappés, et pour leurs familles qui se tiennent près d'eux, debout !
Puisse notre solidarité et notre amitié les aider ! Qu'ils sachent qu'ils peuvent compter sur nous !
Comme chaque année, nous maintenons des activités de promo.

Le séjour en Flandre au mois d’avril est déjà complet.

En revanche, vous pouvez toujours vous inscrire pour notre déjeuner habituel en hiver dont les détails sont :

  • il aura lieu le 29 janvier à 12h30,
  • à Paris, dans les locaux du Stade Français, près du Parc des Princes, 
  • 2, rue du Commandant Guilbaud - 75016 Paris.
  • La participation au déjeuner est de 40 € par personne.
  • Ce déjeuner est ouvert à vos épouses, bien évidemment.
Merci de vos réponses rapides.
Règlement par chèque à l’ordre de ANEP 66, à envoyer à :
ANEP 66  -  c/o Olivier Devergne – Giverdon - 03130 LUNEAU
Ou règlement par virement :   
RIB : ANEP 66   -    IBAN : FR76 3006 6106 3700 0116 1580 119

Le projet pour le voyage au Montenegro prévu à mi-septembre 2019 est en cours de gestation et devrait vous être dévoilé sous peu !


Amicalement
Olivier Devergne