Le lundi 13 septembre 19 heures, à notre hôtel, le Crowne Plaza, les participants se retrouvent auprès de la piscine pour un apéritif–zakouskis qui agrémente les retrouvailles.
François d’Hauteville nous distribue un petit livret, fort documenté et intéressant, qui évoque les merveilles que nous allons découvrir.
L’éditeur vous encourage vivement à le lire, vous y accédez en cliquant ici.
Le lendemain, en deux groupes, nous quittons l’hôtel d’un pas conquérant pour la visite de la ville ancienne.
Très vite, notre déambulation devient un zig-zag erratique entre des flaques d’eau de plus en plus vastes, parapluies déployés et repliés cent fois au gré des trombes d’eau intermittentes et des bourrasques dont le ciel nous abreuve.
Ceux d’entre nous qui ont vécu un déluge de mousson dans le delta du Mékong en 2012 retrouvent dans cet «épisode cévenol» l’envahissement aqueux d’antan, et s’en accommodent avec philosophie, après tout, ce n’est que de l’eau, les autres livrent bataille contre les pépins retournés, les K-ways et parkas transpercés, les chaussures qui font floc-floc à chaque pas.
Au cours du dîner au restaurant «Chez Boris», un violent orage éclate dont le vent furieux menace d’emporter les stores extérieurs, repliés en catastrophe par le personnel.
Jeudi 16 septembre, nous sommes tous un peu las de cette fureur météorologique. Miracle, les éléments, eux aussi, en ont assez.
Le programme se poursuit comme prévu, au sec et au soleil, jusqu’au vendredi.
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