2017 - Rochefort

30 mai 2017
Dominique Fortier nous a communiqué le programme définitif de ces deux jours en Charente, qu'il a mis au point avec l'Office du Tourisme de Rochefort-Océan.
Rochefort, la ville natale de Pierre Loti, la visite de la frégate l'Hermione, l'étonnante Corderie Royale, la descente en bateau de la Charente, l'île d'Aix, où Napoléon Bonaparte passa ses derniers jours en terre de France, avant son exil à Sainte Hélène.

Le programme détaillé, c'est ici
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24 juin 2017
Le voyage Rochefort a été magnifique et passionnant !
Une base de séjour bien choisie près de la Corderie Royale.
La visite guidée de l'Hermione a fait découvrir les conditions "rudes" de la vie et du travail à bord de ces bateaux d'antan.
La ballade dans l'Ile d'Aix a été superbe et agrémentée d'une trouvaille inattendue : le Musée Africain avec son Dodo empaillé (qui est une reproduction).
Le dodo, endémique de l'île Maurice, mesurait environ un mètre pour une masse moyenne de 10 kilos. Il a disparu moins d'un siècle après sa découverte, à la fin du 17ème siècle.

Merci à Dominique Fortier pour ses explications sur les tergiversations de l'Empereur avant de quitter la France : c'est un épisode peu connu.

De ce beau voyage, Annie Hennel a fait un diaporama et Claude Gilbert une superbe relation "Virée en terre Royale" que vous trouvez ici.
Quant à Alexandre Trillard, il nous a régalé d'un diaporama supplétif, fantaisiste et sérieux que vous trouvez ici.


Dans les photos de l'île d'Aix, Annie évoque la "Maison Rose" et l'inscription sur le garde-corps de son belvédère : Jane's tooth.

Le belvédère a été ajouté sur la maison qui appartenait à son épouse par l’ingénieur M. Courbebesse qui était en poste sous le second Empire à l’Arsenal de Rochefort. Il passait une partie de ses vacances sur l’Ile. Il avait la charge des travaux du fort Boyard, et on suppose que, du belvédère, il observait le fort avec une longue vue. 
L’année de la construction du belvédère, ce jeune ménage donna naissance à une petite Jeanne qui, plus tard, fit sa première dent, d'où l’inscription commémorative sur le garde-corps.
Pourquoi en anglais ? C’était en 1867, et le rapprochement entre l’Empire Français et la Couronne Britannique entraînait une certaine "anglomania". On peut penser que c’est là l’explication la plus plausible.