jeudi 5 septembre 2024

Déjeuner du 23 ami 2024

Dans son journal de mai 1906, Jules Renard écrivait : « Paresse : habitude prise de se reposer avant la fatigue ».

Depuis fin mai 2024, votre blogmaster a fait sienne cette forte parole.

Chers amis (.es) – ouch !, me mettrais-je à l’écriture inclusive, mon exigence littéraire oubliée, triste conséquence de mon âge post-canonique ? – pardonnez-moi d’avoir, jour après jour, repoussé aux ides de septembre (Idibus Septembribus) votre information sur notre évènement de promo de mai 2024.

Il n’est pas question ici de vous annoncer le calendrier du mois Septembribus en sacrifiant un bélier à Janus au Capitole, ni de sacrifier une agnelle ou une truie à Junon.

Plutôt, enfin, voici la relation circonstanciée et photographique notre déjeuner à l’Auberge du Bonheur du 23 mai 2024.

Venus du monde entier – Jean-Pierre Gaudfrin de Tahiti, Jean-Pierre Richard de Bièvres (Essonne) – non étions une cinquantaine joyeuse, sous un soleil radieux.

Boris Prassoloff avait apporté un fourgon plein de son livre « Tsars sans Empire » - passionnant, votre blogmaster vous en recommande impérialement la lecture –, et ses dédicaces restèrent dignes, malgré la chaleur du repas.

Olivier Devergne nous fit le point sur le voyage de fin septembre 2024 dans le Pouilles en Italie, et nous détailla le programme en cours de préparation pour l’année 2025 :

  • Balades insolites Bordelaises, du 16 au 20 juin 2025,

  • Escapade dans le Perche, en septembre 2025.

Il évoqua en outre la perspective d’un déjeuner avec la promo 65 au printemps 2025.

 De bonnes photos (merci à Dominique Fortier) valent mieux que d’oiseux discours : vous les trouverez en cliquant ICI.

 

 

mercredi 22 mai 2024

Boris Prassoloff, son livre, le Figaro Magazine

Dans le Figaro Magazine du 7 avril 2024, Jean Sévillia a écrit un article sympathique sur le livre de notre camarade Boris Prassoloff, "Tsars sans Empire" :

" Dans la nuit du 16 au 17 juillet 1918, le tsar Nicolas II, qui avait abdiqué en mars 1917, était assassiné avec toute sa famille et quelques proches : la terreur bolchevique s’abattait sur la Russie. Dès le lendemain de sa mort, la liquidation de la famille impériale était entreprise sur ordre de Lénine.
Jusqu’en janvier 1919, en tout 18 membres de la dynastie Romanov seront exécutés. La plupart de ceux qui avaient échappé au massacre se réfugieront en France, mais aucun survivant ne descendait du dernier tsar, d’où d’interminables querelles de succession pour déterminer qui deviendrait le chef légitime de la maison impériale.
 
Dans un livre attachant, Boris Prassoloff, né en France de parents russes blancs émigrés en 1917, raconte l’histoire de ces princes qui, loin de leur patrie et dans un dénuement contrastant avec leur opulence passée, ont maintenu une certaine idée de la Russie, dans l’attente de la chute du communisme qui ne viendra qu’en 1991, et dans une vaine mais émouvante fidélité à la monarchie. En 1924, le grand-duc Cyrille, fils du grand-duc Wladimir, frère du tsar Alexandre III et fils cadet d’Alexandre II, se proclamait empereur et installait sa petite cour en exil dans le village breton de Saint-Briac, près de Dinard.
 
À sa disparition, en 1938, son seul fils, Vladimir, lui succédera et restera le prétendant au trône impérial jusqu’à sa mort, en 1992, date à laquelle s’arrête cette étude qui n’élude aucune question gênante : ni les dérisoires rivalités et querelles de préséance au sein de l’émigration russe, ni l’antisémitisme récurrent des Romanov, ni les accointances pro-allemandes de Vladimir pendant la guerre, ce qui lui vaudra d’être interdit sur le territoire français jusqu’en 1956."
Jean Sévillia
 
Vous trouverez le livre de Boris dans toutes le "bonnes librairies", ainsi que sur Amazon, bien évidemment.
 

mercredi 24 avril 2024

Jacques Santoul, un fan de rugby, brillant

Le 14 février 2024, Olivier Devergne nous a fait part du décès de notre camarade Jacques Santoul.

" Chers amis
Notre camarade Jacques Santoul nous a quittés le 13 février 2024.
La maladie a rendu la fin de sa vie très difficile, alors qu’il avait perdu sa femme au début de 2023.
Il avait encore espéré participer à notre déjeuner de décembre dernier.
C’était un camarade fidèle à notre promotion et de contact très facile.

Amitiés "
Olivier Devergne
 

Michèle Le Goff nous a envoyé son témoignage, écrit en commun avec Chantal Bourgery.

 
 
De gauche à droite :
Jacques et Jeanne Santoul,
Jean-Louis Clément,
Michèle Le Goff,
Marc et Chantal Bourgery




" D'origine Gersoise, notre ami Jacques naît en 1941 à Rabat, où il passe toute sa jeunesse.
Il évoquera toujours avec bonheur ses souvenirs du Maroc dont il connaît l'histoire sur le bout des doigts.
De ces années, il gardera l'amour du soleil et de la Méditerranée, la joie de vivre, le sens de la fête, de la bonne humeur et de l'amitié ... et l'amour du rugby.
Jacques a toujours eu un humour fou et un don pour la répartie courte et choc !
Il revient en France pour intégrer HEC. Sorti en 1966, il partira faire son service en coopération à Dakar, où son équipe de rugby devient championne d'Afrique !


A son retour, il épouse Jeanne qui sera sa compagne pendant 55 ans.

Comme lui, Jeanne adore le Jazz et leurs fêtes musicales seront mémorables.

Avec leurs deux fils, ils formeront une famille unie, soudée et forte.
Sa brillante carrière à la direction de grands groupes comme General Foods ou Varta, dont il sera le Président du Directoire entre 1988 et 1995, en feront un grand expert international.
 
Ses dernières années, assombries par la maladie et la disparition l'an dernier de Jeanne, ont été douloureuses.
 
 
 
Depuis, Jacques, très entouré par ses enfants, ses petits-enfants, sa famille et ses amis, s'est lui aussi battu contre la maladie.

Son amitié nous fut toujours fidèle et précieuse. Sa disparition nous laisse dans un profond chagrin."

Michèle Le Goff, Chantal Bourgery



mercredi 27 mars 2024

Louis Omer-Decugis, entrepreneur, philanthrope, généreux.

Le 13 février 2024, Olivier Devergne nous a fait part du décès de Louis Omer-Decugis, que beaucoup d'entre nous connaissions et apprécions.

"Chers amis,
Au jubilé - 2016
 
Même à nos âges…, on ne s’habitue jamais aux mauvaises nouvelles.
Louis Omer-Decugis nous a quittés.
Ma femme et moi nous souvenons de l’accueil que Jacqueline et Louis nous avaient réservé, fait d’attentions, de prévenance et de gentillesse, lors de la préparation du jubilé de notre promotion en 2016, où ils nous avaient ouvert leur porte pour une journée inoubliable.
Amitiés à tous"
Olivier Devergne

 

Nombreux de la promo 66 sont ceux qui, émus par cette triste nouvelle, ont partagé avec nous souvenirs et anecdotes.

Michel Roux
"Pour une triste nouvelle, c'est une triste nouvelle.
Je me souviens très bien aussi de la réception des Omer-Decugis chez eux : un moment qui reste dans les mémoires !
Amitiés"

Jean-Pierre Lemiesle
"Incroyable !
Lui si costaud ;
Je garde le souvenir de la PMS où c’était toujours lui qui portait le fusil-mitrailleur et on faisait les 400 coups ensemble.
Puis on s’est malheureusement perdu de vue.

Michel Tardieu
"C’est une grande émotion.
Nous ne voulons pas nous habituer à cette répétition de tristes nouvelles que le franchissement des 80 ans risque d’accélérer. 
Nous avons partagé avec Louis pendant 3 ans le même comptoir et, même si nous n’étions pas intimes, je garde de grands souvenirs de nos échanges et des soirées de comptoir qu’il avait organisées à Ville d’Avray."

Jean-Christian Maisons
"Oui, ça fait de la peine de perdre un camarade, même à nos âges.
Je suis aussi allé au jubilé de notre promotion et j'ai été très heureux de revoir Louis à cette occasion.
Il se trouve qu'il a été le camarade que j'ai consulté quand je suis entré à IBM, mon premier emploi. Je devais élaborer une démonstration à l'attention du CTIFL et il m'a reçu en toute simplicité avec sa gentillesse coutumière pour m'expliquer les tenants et aboutissants de son métier. D'une certaine façon et de façon certaine, je lui suis reconnaissant de m'être honorablement acquitté de cette mission.
Adieu Camarade !"

Michel Dumoulin nous raconte une anecdote, vivante illustration de cette expression usuelle : "le monde est petit."

"Je n'avais que peu connu Louis à l'École, et je le regrette.
Mais je me dois de rapporter une anecdote liée à son merveilleux accueil lors du cinquantième anniversaire de la promo.

Au Jubilé
Partis parmi les derniers, Françoise et moi sommes allés saluer Jacqueline pour la remercier d'avoir mis sa demeure à notre disposition.
À ma grande surprise, celle-ci me répondit : "Michel Dumoulin, je vous connais depuis bien longtemps, vous alliez à Rozier...  ... ...". Effectivement, lorsqu'elle était petite fille, elle allait en vacances à Rozier-Côtes-d'Aurec (300 habitants, magnifique église du XIème siècle, 30 Km de Saint-Etienne), où mes parents possédaient notre maison de vacances. L'adolescent que j'étais ne l'avait pas remarquée, mais elle se souvenait du grand mince (à l'époque) qui se baladait en solex dans le village.

Le monde est vraiment petit !!!

Je conclus en présentant à Jacqueline l'assurance de mon plus sincère soutien dans ces douloureuses circonstances."
 
 
Didier Charlet l'a bien connu, depuis la sortie de l'École.

"En effet une très mauvaise et très triste nouvelle.
Louis faisait partie de notre "club d'investissement", à large majorité fait de camarades de la promo 1966, depuis quasiment notre sortie de l'École.
Son état de santé lui a fait manquer plusieurs réunions ces derniers mois, mais notre dernière réunion a eu lieu chez lui le 24 janvier - ce qui lui a sûrement fait très plaisir - grâce à l'énergie de Jacqueline, qui craignait une fin prochaine...
Nous l'avons en effet vu très affaibli, même s'il nous disait aller encore chaque jour à son bureau de Rungis, ce marché qui a rempli sa vie et celle de sa famille, une famille unie et élevée dans le respect des valeurs chrétiennes et dans l'attention portée aux autres.
 
Au Jubilé
 Il parlait encore avec gourmandise de son métier et des fruits importés en France par la société Omer-Decugis depuis plusieurs dizaines d'années, dont il nous aura régalés bien souvent.
Il était une "figure" de ce marché de Rungis.
 
Louis a toujours été un ami fidèle, simple, direct, et souriant. Lorsqu'il nous accueillait, comme il l'a fait avec la promo entière lors de notre "jubilé", c'était toujours avec une chaleur et une simplicité qui cachait le mal qu'il se donnait pour que tout soit parfait.
Pour résumer, je dirai simplement que Louis était "quelqu'un de bien", même si ce qualificatif me paraît faible.
Louis va me manquer, comme il va manquer à tous ceux qui l'ont connu.

Bien amicalement."

 

De même, Jacques Barret nous livre quelques souvenirs marquants.

"N’ayant pu être au Jubilé, notre dernière rencontre, pour Odile et moi, avec Louis et Jacqueline, remonte au 40ème anniversaire à Toulon. Elle fut la joyeuse occasion d’évoquer de nombreux souvenirs communs. Je n’en reprendrai ici que quelques-uns.

Ceux du « Comptoir 34 ». Louis, un peu « distancié », ne parlant certes pas « pour ne rien dire », à l’humour discret, mais vif. La campagne présidentielle de 1965 dans laquelle il m’entraîna.
 
Dans le Golfe d'Ajaccio en Juillet 2012
Ceux de la « Royale » à Toulon. Louis était, des nombreux HEC 66 servant dans la Marine, un des plus discrets, ayant dans la région des repères familiaux. Affecté, comme professeur d’anglais, à l’école des Officiers Transmissions des Bormettes, il était le mieux placé d’entre nous pour être, sur le Croiseur Colbert, l’Officier du Chiffre du Général de Gaulle lors de son voyage au Québec, et, à ce titre… chiffrer son message de félicitations à Malraux pour ses « Antimémoires ».
Ceux des « Années Tignes » ensuite. Un Paris-Tignes nocturne, pour se mesurer, dès matin, avec Louis – imbattable ! - et François Martin, sur les pistes. Puis, avec Jacqueline, déjà connue à Toulon, et par la suite Odile qui devint mon épouse, plusieurs joyeux séjours dans l’appartement du Val Claret, à Tignes.

Certes, repris par Paris, la vie professionnelle, les enfants venus, nos rencontres se firent de moins en moins fréquentes, jusqu’à ces heureuses retrouvailles, Toulon, 2006.

Je garde de Louis le souvenir d’un homme à la très grande sincérité. Homme de mesure, de profonde humanité, voire d’une humilité probablement liée à sa foi, très généreux.
Souvenirs d’un très agréable compagnon d’études, puis d’une bonne amitié, qui nous apporta celle de Jacqueline, vers qui vont nos meilleures pensées."

 

Pierre Roger-Machart, notre camarade de la promo 1965, l'a longuement accompagné dans son soutient de 20 ans aux enfants atteints de cancer en Afrique.

Course "Enfants sans cancer" en 2014
"L’association Groupe Franco-Africain d’Oncologie Pédiatrique (GFAOP) a perdu Louis Omer-Decugis, son Administrateur et membre de son Bureau.

C'était un homme de grande valeur, qui a donné beaucoup au GFAOP et participé activement à son développement avec sincérité et efficacité. C’était un ardent défenseur de la cause des enfants atteints de cancer en Afrique, un grand homme, efficace, discret, un homme de compromis, ne s’énervant jamais.

Il a énormément fait pour les enfants africains atteints de cancer.
Nous perdons un grand homme, un ami de l’Afrique et l’un des bâtisseurs du GFAOP.

Né en 1944, il était diplômé d’HEC, marié avec 4 enfants.

Du fait de ses activités professionnelles, Louis portait un intérêt particulier à l’Afrique francophone en tant que fondateur et Président de la Société Internationale d’Importation (S.I.I.M.), se consacrant à l’importation de fruits exotiques, avec comme principaux pays-source la Côte d'Ivoire, le Cameroun, le Bénin, le Sénégal, le Mali, le Burkina-Faso, le Kenya, l’Equateur et le Brésil.

Du fait de son tempérament généreux, il avait une prédisposition à s’intéresser à des thèmes comme ceux du GFAOP. Et du fait de ses relations de camaraderie, matérialisées notamment par des footings chaque samedi matin avec ceux d’entre nous qui avaient déjà rejoint le GFAOP dès 2000, il accepta d’en faire partie en 2004 lorsque nous le lui avons proposé.


Ayant fait alors la connaissance du Pr Jean Lemerle, le Président d’alors, onco-pédiatre à l’Institut Gustave Roussy, une relation d’estime réciproque se créa, ce dernier appréciant particulièrement les avis de ce chef d’entreprise qui avait fait la preuve de ses capacités dans son action professionnelle en Afrique francophone. Ce fut plus encore le cas avec le Pr Harif avec lequel une profonde relation d’amitié se créa, qui dura jusqu’au dernier jour.

Ayant professionnellement à aller en Côte d’Ivoire, Louis ne manquait pas de rendre systématiquement visite à l’Unité d’Oncologie Pédiatrique (UOP) de Treichville pour travailler avec les oncologues et voir comment les aider. Et il trouvait un grand intérêt à accompagner le Pr Harif et le Dr Patte dans leurs visites aux UOP : Bamako, Yaoundé, Ouagadougou, Abidjan, Tananarive, Dakar, Kinshasa, et Ouagadougou en 2019.
Il se réjouissait d’aller à Abidjan pour les journées du GFAOP de février 2024, mais son brusque décès l’en empêchât.

C’est à son initiative qu’a été créée la première maison de parents à l’UOP de Treichville, avec l’appui de la fondation Lalla Salma, de l’association Soleterre, et de l’association de soutien locale Aide aux Enfants atteints du Cancer (AEC). C’est aussi grâce à son appui que la maison de parents "Les Jeannots" à Kinshasa a pu commencer à fonctionner et que la maison de parents de Ouagadougou a été choisie. 

Il participait très activement et généreusement à la recherche de fonds, notamment pour permettre les envois de médicaments aux Unités d’Oncologie Pédiatrique. C’était un très grand donateur, qui, avec sa Fondation d'entreprise et les membres de sa famille, nous a beaucoup aidés.
Une belle personnalité nous a quittés.
Il fait partie de ces hommes qui laissent une trace de leur passage ici-bas. Le GFAOP a eu la chance de connaître et de bénéficier de ses talents et de son énergie.

S’il nous a quitté, il ne quittera pas nos mémoires."
Pierre Roger-Machart
 
 
 
 NON ! 
 
Contrairement à ce que laisserait penser cette photo, Louis n'a JAMAIS été patron de chalutier !
 
C'est seulement une bien belle photo de lui, prise lors d'un voyage familial en Suède.

 (Ajout de votre Blogmaster) 
 
 
La société Omer-Decugis & Cie a publié un communiqué de presse chaleureux.
Consultez-le en cliquant ici


mardi 20 février 2024

7 au 14 octobre 2023 - Voyage au Sultanat d'Oman

Le voyage au Sultanat d'Oman a été passionnant, en ce sens que nous avons découvert un pays bien différent de ce que nous imaginions avant notre départ.


 

Nos photographes, Pierre et Marie-Thérèse Bouchet, Jean-Baptiste et Sophie Darrigade, Jean-Jacques et Renée Decléty, Denis et Christine Gindre, Philippe et Christine Lapierre, ont été prolifiques : nous avons rassemblé 748 photos !
Après les avoir mises en ordre chronologique, il a fallu faire des choix, parfois difficiles, pour réduire ce nombre à 282 photos et 8 aquarelles de François d'Hauteville, et ainsi composer un album photo à peu près équilibré.
 
Pour le blog, notre sélection a été un peu moins drastique : nous avons conservé
360 images, aquarelles incluses.
 
Nous avons passé beaucoup de temps à retrouver les lieux de nos aventures et les reporter sur la carte, et aussi à essayer de bien comprendre certains aspects du passé et de la culture d'Oman, pour vous les transmettre clairement.
 
Chers participants au voyage, l'album photo que vous avez reçu est le condensé de ces 4 mois de travail que votre délégué a mené à bien avec un plaisir de tous les jours.
 
Chers camarades qui n'ont pu participer au voyage, plongez-vous dans ce merveilleux Sultanat d'Oman ! 
C'est simple, il suffit d'un clic :
    Sur l'onglet  "2023 - Oman"
    Ou ici
 

samedi 13 janvier 2024

Nouvelles photos autour du déjeuner du 8 décembre 2023

Dominique Fortier nous a envoyé toutes les photos qu'il a prises le 8 décembre à l'Auberge du Bonheur. 
Elles sont un chouette complément à celles de Jean-Baptiste Darrigade.

 Pour les afficher, cliquez ici

 

samedi 30 décembre 2023

Déjeuner du 8 décembre 2023

Le 60ème anniversaire de notre entrée à HEC fut une bien belle célébration, comme nous le raconte Olivier Devergne :


« Pour rappeler qu’il y a 60 ans, la plupart d’entre nous, la promotion HEC66, intégrions l’école sans savoir encore que nous serions la dernière promotion à suivre son cursus boulevard Malesherbes, nous avons placé notre déjeuner annuel sous le signe de cet anniversaire.


Organisé remarquablement par Jean-Pierre Richard, nous nous sommes retrouvés 66 (et oui, comme un fait exprès !), quelques impératifs de dernière minute ayant empêché 6 d’entre nous de nous rejoindre.

 
Le Covid ou la grippe furent pour certains la cause de leur absence et nous leur souhaitons de se remettre rapidement ; pour d’autres, la « grande faucheuse » a atteint leur entourage proche et nous partageons leur chagrin.
  

Le cadre de l’Auberge du Bonheur, au Bois de Boulogne, amélioré par une structure démontable, nous a permis d’avoir un espace privatisé favorable aux échanges informels pour le verre offert avant de passer à table.

 

Il convient d’ajouter que plus de 100 camarades ont répondu à cette invitation sur les 219 adresses que je possède. Je les en remercie.

L’ambiance était détendue, nos récents auteurs, Yves Medina et Olivier Brancher, ont pu présenter leurs ouvrages et les dédicacer.

Nous avons pu ébaucher le programme pour 2024 avec un voyage dans les Pouilles qui séduit un bon nombre d’entre nous.

Et nous nous sommes promis de nous retrouver l’an prochain au même endroit s’ils acceptent toujours de nous accueillir !

Olivier Devergne

Jean-Baptiste Darrigade et Dominique Fortier ont photographié des instants de cette fête.
Pour voir les photos, cliquez ici.