mardi 23 janvier 2018

La saga des voeux 2018 - suite

Le 2 janvier, Alexandre Trillard remercie Pierre et Nicole Michaux "d'avoir lancé le flot des vœux" et il poursuit la métaphore maritime en remerciant ceux qui ont "surfé avec élégance sur cette puissante vague de l'amitié".
Ensuite, il bascule dans un surréalisme halluciné :
"Les uns et les autres me paraissent pourtant être bien au sec. Ce n’est pas mon cas. Ici, dans la région, il a beaucoup plu ces derniers jours.  Énormément à vrai dire : je suis bien trempé, comme vous pouvez le constater". 
Au passage, il désamorce nos possibles doutes moqueurs : "serait-ce le résultat d'un réveillon trop arrosé ? Non, bien sûr, pas seulement".
Et il poursuit ses vœux aqueux : "Mais cela ne m’empêche pas de vous adresser à tous.tes, mes vœux bien chaleureux, quoique très humides, pour 2018".
Pour finir, il nous achève par un postscriptum angoissant : "le plus dur, en fait, a été de taper ce mail sur un clavier amphibie : avec les nageoires qui poussent, ce n’est pas facile, mais les autres me disent que c’est juste un coup à prendre..."
Les autres ?  Où es-tu, Alexandre ?

Le même jour, Michel Dumoulin prend le parti de nous souhaiter le tout par une franche rigolade : "J’ai déjà reçu les vœux de plusieurs d'entre nous et je les en remercie, ils ont fait preuve d'élégance et de raffinement ; pour changer, je fais dans le mauvais goût, mais de tout cœur souhaite à chacun une merveilleuse année 2018".
et il verse dans les blagues ancillaires.

Enthousiasmé par tant de pertinence, Jean-Pierre Richard nous fait "remarquer que le souhait de légèreté, émis par Nicole et Pierre Michaux, a été parfaitement intégré dans la magnifique réponse de Michel Dumoulin".

Ensuite, le 3 janvier, André Touati sort le violon : "Bravo Pierre et Nicole pour avoir «dégainé» les premiers et avoir retenu le monument à la gloire des conquistadors comme emblème de vos vœux. Je pense évidemment que vous faites allusion à nos délégués de promo (mis en italiques par l'éditeur...) qui nous entraînent chaque année dans un nouveau coin du monde...".
Merci, André !  (dit l'éditeur)

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