Ensuite, il bascule dans un surréalisme halluciné :
"Les uns et les autres me paraissent pourtant être bien au sec. Ce n’est pas mon cas. Ici, dans la région, il a beaucoup plu ces derniers jours. Énormément à vrai dire : je suis bien trempé, comme vous pouvez le constater".
Au passage, il désamorce nos possibles doutes moqueurs : "serait-ce le résultat d'un réveillon trop arrosé ? Non, bien sûr, pas seulement".
Et il poursuit ses vœux aqueux : "Mais cela ne m’empêche pas de vous adresser à tous.tes, mes vœux bien chaleureux, quoique très humides, pour 2018".Pour finir, il nous achève par un postscriptum angoissant : "le plus dur, en fait, a été de taper ce mail sur un clavier amphibie : avec les nageoires qui poussent, ce n’est pas facile, mais les autres me disent que c’est juste un coup à prendre..."
Les autres ? Où es-tu, Alexandre ?
Le même jour, Michel Dumoulin prend le parti de nous souhaiter le tout par une franche rigolade : "J’ai déjà reçu les vœux de plusieurs d'entre nous et je les en remercie, ils ont fait preuve d'élégance et de raffinement ; pour changer, je fais dans le mauvais goût, mais de tout cœur souhaite à chacun une merveilleuse année 2018".


Ensuite, le 3 janvier, André Touati sort le violon : "Bravo Pierre et Nicole pour avoir «dégainé» les premiers et avoir retenu le monument à la gloire des conquistadors comme emblème de vos vœux. Je pense évidemment que vous faites allusion à nos délégués de promo (mis en italiques par l'éditeur...) qui nous entraînent chaque année dans un nouveau coin du monde...".
Merci, André ! (dit l'éditeur)
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